Song Sok-ze

Il est né en 1960 à Sangju dans la province du Gyongsang (sud de la péninsule). Ses débuts littéraires remontent à 1986 avec le poème Nettoyeur de vitres publié dans la revue Munhaksasang, mais c’est grâce à une nouvelle, Les 4,5 dernières secondes de ma vie  , publiée dans la revue Munhakdongne, que sa carrière prend son essor en 1995. Auteur de nombreux romans et recueils de nouvelles où il déploie une verve drolatique, il porte un regard critique, ironique et amusé sur la société coréenne. Cet adepte de la thérapie par le rire a reçu la plupart des prix décernés en Corée, prix du quotidien Hankuk (1997), prix Dongseo (2000), prix Yi Hyo-seok (2001), prix Dong-in (2002), prix Hyundae (2003), etc.

  1. Vidéo de son intervention avec Jean-Noël Juttet, Kim Unsu, Lee Seung-U, Pyun Hye-young, 2015
  2. Vidéo de son intervention avec Lyonel Trouillot, et Kim Unsu, 2015

[/crédit photo Lee Sangsul/]

En traduction française :
Piégé par sa femme, in NRF n°586, juin 2008
À qui mieux-mieux, Imago, 2013
Sous les lauriers roses, in Brèves n°105, 2014
La carte et le roman, Traduire la vie, meet, 2015
Ce type, je vous jure, la revue meet n°19 Séoul/Port-au-Prince, meet, 2015